Retour à la réception

Random s'avance vers Jehan. Le regard franc, le dos droit, et l'allure assurée.
Effet quelque peu entaché par ses multiples trébuchements et ses difficultés à marcher droit.
"C'est gentil de te joindre à nous."

Il ne se rend manifestement pas compte qu'il s'interpose entre Jehan et sa futur cavalière.

"Il se trouve qu'on vient de me rappeller les sempiternels devoirs de socialisation des princes d'Ambre. Soudainement pris d'une bouffée de patriotisme j'ai décidé d'offrir une danse aux demoiselles abandonnées.
A présent si tu veux bien m'excuser mon oncle, j'ai un devoir à remplir."

"Ha oui ! Le devoir !"
Il hoche la tête avecun sérieux soudain.
"Ou serions nous sans lui, je vous le demande ?"

Puis il s'éloigne en grommelant tout un tas de chose. On pourrait percevoir le mot "Texorami" à un moment.

"Ha, Zellass, content de tomber sur vous. puis se tournant sur sa gauche : "Voilà quelqu'un qui va pouvoir nous mettre d'accord, monsieur le baron."
"Sans nul doute, votre altesse, sans nul doute."
Le prince Bleys est accompagné d'un homme entre deux ages, arborant un bouc et des cheveux noirs peignés en arrière. Après un moment de flottement Zellass l'identife à son blason comme le baron de Monome, un noble mineur dont le domaine se trouve loin à l'ouest, arrivé récemment en Ambre pour affaire. Ce dernier semble très gêné.

"Figurez-vous que cet effronté ose me soutenir que les gagnants de la dernière régate de Dustari utilisaient un bateau conçu par les chantiers Marlac. Absurde

Pourquoi cela serait absurde échappe à Zellass, surtout que c'est effectivement le cas. Il faut dire que Bleys n'était pas présent en Ambre lors de la dernière frégate de Dustari, il y a 4 ans.

Non loin de la entendant la question formulé par Bleys pour Zelass un sourire vint au visage de Mice, qu'il camoufle par le verre qu'il porte à ses levres.

*Je lui souhaite bien du plaisir poour répondre a cette question.*

édité pour cause de règles sur la mise en page déplorablement ignorées. Desciptif en italique, pensées entre astérisques *~* et paroles entre guillements "~". Regarde les autres et tu verras : narration au présent à la troisième personne. J'ai corrigé ici.

Prenant le Spleen que lui tend Mice, Sergeï l'invite à s'asseoir.
"Oui, c'est ce que je me dis parfois... mais comprends-tu, il me manquait une pièce dans une collection d'écus ouvragés, et... mais je suppose que mes lubies, malgré ta politesse légendaire.-une flamme cuivrée s'était allumée dans ses yeux, mais s'éteint comme il revient à la raison- mais bon, tu me connais, les grandes réceptions... -une moue ironique se dessine sur le visage de Sergeï, qu'il plonge dans la boisson... -Wow ! Mice ! tu ferais un très bon barman" Sergeï rajoute une feuille de menthe sur le tout, et boit à petites gorgées, devisant avec qui vient le rencontrer...

"On fait pas mal de choses un peu de tout rien de bien précis enfin en pièce je veux dire j'essaye de me faire un peu d'argent et de trouver quelques objets sympathiques. Disons que je ne me limite pas à un seul style."

" Je saurai m'en rappeller " dit-il derrière ses bandes .

"Aucun problème, j'ai parfois entre les mains de tres beaux objets que seuls de veritables collectioneurs peuvent apprécier."

Bleys a écrit:

- Ha, Zellass, content de tomber sur vous. puis se tournant sur sa gauche : "Voilà quelqu'un qui va pouvoir nous mettre d'accord, monsieur le baron."
- Sans nul doute, votre altesse, sans nul doute.
Le prince Bleys est accompagné d'un homme entre deux ages, arborant un bouc et des cheveux noirs peignés en arrière. Après un moment de flottement Zellass l'identife à son blason comme le baron de Monome, un noble mineur dont le domaine se trouve loin à l'ouest, arrivé récemment en Ambre pour affaire. Ce dernier semble très gêné.

- Figurez-vous que cet effronté ose me soutenir que les gagnants de la dernière régate de Dustari utilisaient un bateau conçu par les chantiers Marlac. Absurde.

Pourquoi cela serait absurde échappe à Zellass, surtout que c'est effectivement le cas. Il faut dire que Bleys n'était pas présent en Ambre lors de la dernière frégate de Dustari, il y a 4 ans.

- "C'est toujours un plaisir de vous voir, mon Oncle. Je ne savais pas que vous portiez un si grand intérêt pour les régates. A dire vrai, je n'ai pas assisté à celle que vous mentionnez. Etes-vous un amateur de ces chantiers, vous semblez les connaître ?
- Grands dieux non ! J'ai fait l'erreur de me procurer un navire chez eux... Cette coque de noix a coulé à la première tempête, emportant une cargaison d'un très bon vin ! Impossible qu'ils aient put construire un vaisseau gagnant la moindre course !
- Etait-ce du vin en fût ou en bouteille ? Dans ce dernier cas, en cherchant l'épave on pourrait probablement trouver certaines intactes...
- Certes, mais malheureusement je l'avais acheté en tonneau. Ah ! quel gachis. Bleys regarda d'un air mélancholique son verre, à présent vide. Diantre ! mais c'est que je suis à sec ! Venez Baron, allons nous réapprovisionner !"
Zellass regarda les deux hommes s'éloigner, le baron n'ayant visiblement plus très soif - mais tout de même emporté dans le mouvement du prince d'Ambre qui continuait de lui faire une conversation sans trop lui donner l'occasion de réellement parler.

validé

"Oh, pour ce qui est de compléter mes collections, vous me connaissez : je préfère de loin l'excitation de leur... traque."
Le ton de Sergeï, bien que toujours affable, commençait à s'essouffler : tout ce monde commençait de l'incommoder. aussi rejoignit-il le buffet où il retrouva Random, et se choisit un verre empli d'une substance rougeoyante.
"Eh bien, mon oncle, ravi de vous voir en si belle forme à mon retour ! Au fait, que fêtons-nous exactement, si ce n'est moi ? Si la vie de la cour est si festive, il me semble que je vais epacer mes... absences !" conclut-il avec ironie : son sens des festivités était, de notoriété publique, l'un des moins développés.

Prenant un verre d'alcool Mice senti une presence à ses cotés une charmante jeunne femme un peu pataude avait l'air d'hésiter pour se servir.

"Je vous conseille d'essayer le vin de Bayle mademoiselle il est tres bon."
"Merci je le sais bien puisque c'est ma famille qui le produit. " dit-elle d'un ton sec "en fait je voudrais essayer autre chose mais je ne sais quoi."

Forcement gaffeur professionel "Et bien je vous conseil de la vodka avec du gin et du sirop de cassis c'est tres bon mais il ne faut pas en abuser. Si vous le désirez je peu vous le préparer.".
"Merci bien au fait comment vous appelez-vous ?"
"Il est vrai que je ne me suis pas présenté ; Mice El Kall, prince d'Ambre pour vous servir."
"Et bien je dois dire que je vous voyais plus impressionant" dit elle alors qu'elle venait de prendre le verre que lui avait préparé le prince, elle s'en alla hors de la piece tel une amazone fiére d'elle.

"Et bien il semblerait que ton charme n'ai eut aucun effet sur elle jeune prince d'Ambre. Tu devrais peut-être demander des conseils à une aînéen il est normal qu'à ton âge on ne sache pas coment s'y prendre avec les femmes." Une seule personne peut en une phrase montrer toute l'ironie de la chose et vous inspirer du respect c'est donc en se retournant et sans sur prise que Mice se tourna vers la tante qu'il admirait tant et qui lui inspirait respect et crainte.

"Tante Fiona je suis heureux de te voir, même si j'aurai aimé que tu me félicites. Enfin un prince, ou une princesse telle que toi, n'abandonne pas devant un si petit obstacle je vais donc persévérer. A plus tard cher tante et prend bien soin de toi, il faudra que nous allions prendre un verre ensemble."

Mice se mit donc a traverser la salle afin de rejoindre la charmante jeune femme.


edit descriptions en italiques

Lecrane regarde s'éloigner Mice, se retourne et avise Zellas restée seule. Dans un élan d'humanité, il recupère une coupe de vin violacé qu'il lui tend :

" Bien le bonsoir, voilà de quoi vous désaltérer si vous le souhaitez. La robe de ce breuvage a l'éclat de votre chevelure, son arôme est une ôde aux sens...tout comme votre parfum, ma chère. "

montre une poignée d'olive

Une petite pour accompagner ? dit dans un sourire, les yeux à moitié plissés.